A
Shropshire pilot has been talking about his bizarre flight in a
caravan airship, for the BBC Top Gear programme.
Chris
Sanger-Davies was the expert behind the controls of the huge airship
that took to the skies in the latest dig at caravanning by the Top
Gear presenters.
The
ship of the skies was created by Oswestry’s Lindstrand Balloons
and took part in a race to a campsite in a head-to-head with a
Lamborghini, driven by Richard Hammond.
While
front man James May was filmed piloting the crazy craft, and did
take the controls at times, it was Mr Sanger-Davies, who did the
tricky manoeuvres and was in the caravan gondola throughout the
flight.
The
pilot, from Lindstrand Balloons, is one of only a handful in the
world licensed to fly an airship.
BOEING
et SKYHOOK INTERNATIONAL développent un nouvel hélicoptère de
transport lourd : le Skyhook Heavy Lift Vehicle (HLV). Il pourra
transporter une charge 2 fois plus lourde que le plus gros hélicoptère
actuel, le MI26 Halo russe et ce avec une dépense énergétique
moindre.
Le
Skyhook HLV ressemble à un dirigeable équipé de 8 rotors : 4
rotors horizontaux contrôlent son altitude, 4 rotors verticaux
assurent la propulsion et la direction de l'aéronef. Sa vitesse
sera de 150 km/h.
Cette
grue volante est capable de lever 40 tonnes et de transporter cette
charge sur plus de 300 kilomètres. Le ballon rempli d'hélium
assure à lui seul la sustentation de l'aéronef à vide, les rotors
horizontaux compensent le poids de la charge. A vide, le JHL40
Skyhook peut parcourir plus de 1200 kilomètres pour rejoindre une
nouvelle zone de travail.
Boeing
airship looks to Arctic market
9 October 2009
CALGARY
-- Engineers for Boeing Co. say they've advanced their design of a
massive airship that could cut costs for energy companies exploring
in the Arctic, but buyers remain scarce.
Though
its 130-metre-long craft has yet to fly, Boeing estimates that an
airship could float drilling rigs across Canada's remote Mackenzie
Delta for a third of the cost of current methods, which involve
trucks and ice roads.
"We're
not talking about incremental improvements," said Kenneth
Laubsch, manager of Boeing's airship program, which has employed
about 60 people over the past 18 months. "It's a step-wise
change that opens up new markets."
An
airship could allow an energy company to drill three to six times
more targets per year, Mr. Laubsch's group calculated. That could
speed the pace of exploration in a region where a single hole now
costs between $60-million and $100-million, said Boeing, which is
developing the airship with Calgary-based partner SkyHook
International Inc. The project has not signed a single buyer, but
Boeing believes a global market exists for 60 of the craft, and has
drawn investment from major sources like Shell Technology Ventures.
NASA
Conducts Airborne Science Aboard Zeppelin Airship
(PhysOrg.com) -- NASA launched its
first airborne science mission this week featuring a 246-foot-long
Zeppelin NT airship equipped with two imaging instruments to learn
more about environmental conditions in the San Francisco Bay Area.
Euro
Airship a conçu un aéronef plus économe et écologique que
l'avion-cargo.
Après
plusieurs années de R & D, la société Euro Airship se dit
prête à construire son premier dirigeable géant à coque
rigide, une alternative économique et écologique à
l'avion-cargo (sa consommation de kérosène est 10 fois moins élevée).
Ses dirigeants comptent profiter de l'engouement pour les
technologies vertes pour trouver un financier disposé à entrer
au capital à hauteur de 5 millions d'euros, de quoi espérer débloquer
d'autres financements. Objectif : produire 10 appareils par an en
2016.
Des baudruches géantes
pour espionner depuis le ciel
J’ai parfois l’impression de vivre dans le futur.
L’armée américaine prévoit de déployer d’ici mi-2011des dirigeables
espions capables d’évoluer à une altitude de 20.000 pieds
(plus de 6.000 mètres) et de rester là-haut pendant jusqu’à
trois semaines.
Ces LEMV (pour Long Endurance
Multi-intelligence Vehicle) sont des dirigeables développés
sur la base du dirigeable hybride P-791 de Lockheed Martin, que
vous pouvez voir dans la vidéo ci-dessous.
Le P-791 de 38 mètres de long a effectué six vols tests en
2006. Il est qualifié d’hybride parce qu’il flotte dans les
airs à 80%, des propulseurs verticaux fournissant les 20%
restants.
Le LEMV sera deux fois plus grand: 76 mètres de long, avec
une cabine de 5 mètres de large pouvant parfois embarquer un équipage
et équipée de systèmes de renseignement, radars, détecteurs
de mouvements et équipements pour transmettre l’information
au commandement resté au sol. [Aviation
Week via The
Register]
Phase
de décollage pour une étude sur les dirigeables
YVERDON-LES-BAINS
| Alors que la réalisation d’une réplique d’un avion
mythique de 1910 va bon train, l’association hepta.aero a annoncé
le lancement de son nouveau projet international: une recherche
avancée sur les dirigeables semi-rigides.
Yverdon la ville d’eau se découvre
aussi une attirance pour le ciel, depuis qu’hepta.aero s’y est
installée. Et si le projet de faire voler un avion mythique l’an
prochain a atteint son rythme de croisière, l’association aéronautique
s’est plongée dans un nouveau défi. Et pas des moindres,
puisqu’elle entend mener à bien une «recherche avancée sur
dirigeables semi-rigides». En anglais Semirigid Advanced Research,
qui donne nom au projet: SEARCH.
«Les dirigeables sont depuis
toujours des sources de promesses et de rêve, relève Anibal Jaimes,
président d’hepta.aero. On imagine des aérodromes flottants,
c’est un peu Jules Verne revisité. Et ce discours n’a pas changé
depuis septante ans.» Autant dire que le domaine à actualiser est
vaste. SEARCH – qui a été lancé officiellement hier – vise
donc à explorer, à développer et à mettre à jour d’anciens
concepts technologiques aéronautiques liés aux dirigeables pour
les coupler à de nouvelles technologies expérimentales.
Des
dirigeables made in Gers ? Sud-Ouest
25 septembre 2009
Au cours du Forum
écocitoyen, samedi dernier, on a appris le projet d'installation
sur le Mécanopole de l'association First, club consacré aux
maquettes d'aéronefs téléguidées. Une autre annonce, sans doute
plus surprenante mais liée à la première, a également été
faite avec l'éventualité de l'arrivée à Nogaro d'un bureau d'études
pour un DGPA, (un dirigeable gros porteur autonome). Un projet
suspendu à la possibilité, pour cette structure, de prendre pied
dans la pépinière du Mécanopole. Pour Bruno Gauci, responsable de
cette dernière, il ne reste que des modalités pratiques à régler.
Euroairship, société anonyme au
capital supérieur à 10 millions d'euros, porte le projet. Elle a
créé First, puis l'entreprise Aerospace Adour Technology (AAT).
Elle a son siège à Hossegor. Son directeur technique, Marc Sénépart,
était présent sur le stand de Godmak (pseudonyme d'artiste de
Jean-Claude Gallet) qui travaille au projet. Il s'agit donc de
construire de grands dirigeables rigides capables de porter de 30 à
400 tonnes. « C'est la meilleure réponse écologique et économique
aux embarras actuels des transports », soutient Marc Sénépart.
Par rapport aux avions, les DGPA sont six à dix fois moins chers en
coût d'exploitation, six fois moins en consommation de carburant et
dix fois moins polluants : sans bruit, hors aéroports et circuits aériens.
Ils sont gonflés à l'hélium, gaz ininflammable. Ils peuvent
atterrir et décoller partout, sans infrastructure et voler à une
vitesse de 170 km/h.
A
mi-chemin entre un avion et un dirigeable, le DGV2 rêve de
s'envoler. La recherche sur l'hydrogène pourrait en faire un rival
propre de l'avion.
Dirigeable.
Un mot qui nous fait voyager en Zeppelin à l'époque des deux
guerres mondiales. Et si nous l'imaginions comme moyen de transport
du futur ?
C'est le pari d'une petite société française, Voliris,
qui présente le DGV2 : dirigeable à grande vitesse à hydrogène.
"Entre l'avion et le dirigeable, l'industrie aéronautique a
choisi de développer le premier, car le kérosène n'était pas
cher", explique Jeanne Bernard, chef de projet à Voliris. Mais
la donne change.
Avec le réchauffement climatique, l'augmentation du coût des énergies
fossiles, sans compter les problèmes géopolitiques liés à la dépendance
des pays producteurs, l'heure de la revanche du dirigeable a peut-être
sonné. Ainsi que celle de l'hydrogène, énergie propre et
renouvelable (lorsqu'elle est produite avec de l'électricité
d'origine renouvelable).
Ce combustible, inflammable et explosif à l'état gazeux, est
souvent jugé dangereux. "Le kérosène est également
inflammable et explosif, mais on a travaillé pour minimiser les
risques, c'est ce que nous faisons avec l'hydrogène", rappelle
Jeanne.
"Trente ans sont nécessaires pour développer une nouvelle
technologie en aéronautique : Il faut savoir se projeter pour
innover", ajoute-elle. Un démonstrateur sera testé dès 2012
avec deux personnes à bord. Pour un Paris-New-York en vol
commercial, les réservations ne sont pas encore ouvertes.
DARPA
Envisions ISIS Airship to Deliver Unprecedented Surveillance
Capability July
3, 2009 WASHINGTON
A
giant, unmanned airship capable of hovering at about 70,000 feet
promises to give future warfighters an unprecedented eye on the
battlefield.
The Defense Advanced Research Projects Agency's Integrated Sensor is
Structure program, ISIS for short, will provide a detailed,
real-time picture of all movement on or above the battlefield,
explained program manager Timothy Clark.
As envisioned, the ISIS airship will be able to track troop
movements – friendly as well as enemy – up to 180 miles away and
track the most advanced cruise missiles from about 370 miles away. http://www.defpro.com/news/details/8450
Aria
International Incorporated Completes Purchase and Delivery of
Airship to Thailand
ARLINGTON,
Va.--(BUSINESS WIRE)--Aria International Incorporated, the
wholly-owned subsidiary of Aria International Holdings, Inc. (OTC BB:ARAH
- News,
Aria
- News),
a company focused on providing specialized surveillance and
communications solutions to a global customer base is pleased to
announce today that it has completed purchase of an Aeros 40D
Airship S/N A40D-21 (the “Airship”) from Worldwide Aeros Corp.
(“Aeros”) a California corporation based in Montebello,
California. Delivery to Thailand is expected in a few days. Also,
Aria has pre-positioned its permanent team in Thailand to smooth
inclusion of the Airship into the Surveillance program.
Airship
firm gets lift with aid, attention at Toledo ExpressJuly 10, 2009 Maiden
voyageo f ‘sky freighter’ is on horizon
There
are all kinds of interesting aircraft around Toledo Express Airport
or flying in and out, but the one that seems to have elicited the
most intrigue is about eight inches off the ground and resting on
scaffolding.
“We have all kinds of people stop and look, especially when the
[hangar] doors are open,” explained Fred Rist, a native of
Pemberville.
“We’ve even had a couple flashes of light coming from cockpits
[of taxiing airplanes], where pilots were snapping pictures,” he
said.
Mr. Rist, his brother Robert, and two other partners are the men
behind an aeronautical Moby Dick — a great white whale of an
airship being built in a hangar at Toledo Express.
The craft, owned by start-up company Ohio Airships Inc. and funded
in part with a $50,000 grant last month from the Regional Growth
Partnership’s Rocket Ventures, is expected to make its maiden
flight as early as next month.
And though the 110-foot-long, 20-foot-high behemoth fills a big
portion of its protective hangar at the airport, it pales in
comparison to the dreams its developers have to build a fleet of sky
freighters, including one nearly 1,000-feet long and 120-feet high.
>>>more
Eine
Sommersaison lang wird ein Luftschiff von Theo Wüllenkemper für
die WAZ-Mediengruppe am Revierhimmel unterwegs sein - mit Passagiern
an Bord.
60 Meter lang, 7200 Kubikmeter
Gesamtvolumen, einzigartig in seinem Revier – solch einen
Himmelsbotschafter gibt es nicht von der Stange, dafür aber am
Haltemast in einer Halle von XXL-Format am Flughafen Essen-Mülheim:
Dort schwebte Samstag ungerührt WDL 1b, das Luftschiff, das diesen
Sommer für die WAZ-Mediengruppe auf Werbetour geht. Auf den
silbernen Flanken vereint der Blimp in fünf Meter hohen Buchstaben
die Logos von WAZ, NRZ und dem Internetportal DerWesten, verbunden
mit der Aufforederung: „Flieg mit”.
Wind
Creek casino flies new blimp (Lightship A170LS) to bring attention
to casino/resort near Atmore June
15, 2009
ATMORE,
Ala. -- Kennedy McGhee, a young princess of Alabama's Poarch Band of
Creek Indians, saw her reservation from the sky Sunday -- and she
did so without an airplane.
Kennedy
took her first aerial ride in the new Wind Creek blimp -- a
178-foot-long helium-filled airship that was christened on Sunday at
a ceremony at Wind Creek Casino and Hotel.
Des
ingénieurs des Yvelines planchent sur les dirigeables de demain.
Les plus légers que l’air ont le vent en poupe dans un département
berceau de l’aéronautique française.
Yvelines,
année 2020. Le château de Versailles n’est plus qu’une
curiosité parmi d’autres dans le Grand Paris. Ici, les gens
roulent à bord de voitures électriques, empruntent le Vélib’ ou
le tramway. Et quand ils lèvent les yeux vers le ciel, c’est pour
découvrir quelques-uns de ces dirigeables qui font fureur depuis
quelque temps.
Ce scénario, les cerveaux du réseau de chercheurs Dirisoft (il
compte une vingtaine de laboratoires de toute la France) espèrent
le voir devenir très vite réalité. Cette semaine, à l’Isty, école
d’ingénieur interne à l’université de
Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, ils ont présenté un de leurs
prototypes. Mais c’est à Mantes-la-Ville, dans l’ancienne halle
Sulzer, qu’ils planchent sur le dirigeable du futur. Et imaginent
moult applications.
La plus prometteuse consiste dans le transport de charges lourdes.
« C’est une des missions de recherche du réseau, explique Hervé,
animateur du réseau Dirisoft. On peut imaginer transporter des
pales d’éoliennes, des éléments d’Iter (réacteur nucléaire
international), de l’A-380 ou encore de la fusée Ariane… et ce,
d’un point à un autre, sans avoir à construire de routes spécifiques.
Ce peut être aussi un mode de déplacement vers des endroits dépourvus
d’infrastructures. »
Actuellement, des équipes travaillent notamment avec le laboratoire
des ponts et chaussées sur un dirigeable de 8 m de long qui
permettrait de voir sur toutes les coutures les ouvrages de France
et de Navarre… Le zeppelin nouvelle génération, écologique,
pourrait aussi être utilisé dans des milieux difficiles comme la
surveillance en milieu maritime des eaux territoriales au-delà de
la visibilité des radars ou encore pour la détection d’activités
douteuses. D’autres applications devraient séduire les grands
voyageurs, tout particulièrement celle imaginée par Jean-Marie
Massaud. Il s’agit d’un hôtel volant pour 40 passagers, avec
restaurant, salon, bibliothèque, salle de sports, spa, le tout
volant à une vitesse de croisière de 170 km/h.
Pour tout cela, les scientifiques, qui disposent déjà d’un
centre d’intégration à Mantes-la-Jolie, espèrent à l’avenir
pouvoir ouvrir un centre d’essai à Moisson, berceau historique du
dirigeable (lire ci-dessous) .« Si cela fonctionne, il y aura forcément
des retombées économiques par la suite, avec notamment la création
d’une filière de métiers autour du dirigeable », conclut Hervé
Kuhlmann.
Au
salon
du Bourget, il n’y a pas que des avions. On y trouve aussi des
objets volants moins bruyants et moins polluants.
Dans
le hall de la Galerie
des huit colonnes du Musée de l’air et de l’espace est
exposé le dirigeable Néphélios qui se meut à l’énergie
solaire. Ou plutôt, qui se mouvra à l’énergie solaire. Pour
l’instant, Néphelios n’a pas quitté le musée où il a été
assemblé ces dernières semaines par une cohorte d’étudiants,
pour la plupart aspirant ingénieurs, qui ont monté le projet Sol’R
de toute pièce.
Sanswire
Receives $1.4M Funding Commitment From Satellite Asset Tracking Firm
Global Telesat; Commences Construction of Mid-Altitude Airship Model
STS-111 Tuesday
April 21, 2009
FT. LAUDERDALE, FL--(MARKET WIRE)--Apr
21, 2009 -- Sanswire-TAO Corp., www.sanswiretao.com,
the airship manufacturing joint venture equally owned by Sanswire
Corp. (Other OTC:SNSR.PK
- News), www.sanswire.com,
and TAO Technologies GmbH, today announced that it has received a
funding commitment for $1.4 million arranged by satellite tracking
provider Global Telesat Corp. (GTC), www.gtc-usa.com,
and has commenced construction of its first production commercial/government
use unmanned autonomously controlled, Lighter than Air (LTA) airship,
designated the STS-111.
Die
beiden Lindauer Firmen Skyship Cruise AG und Skycruise Switzerland
sind rückwirkend ab dem 31. März im Konkurs. Der gesamte
Firmenbesitz wird liquidiert.
Obwohl
seine Firma derzeit fast täglich Anfragen für die Buchung von
Luftfahrtschiffen erhalte und mehrere Vertragsverhandlungen führe,
könne sie nichts unterzeichnen, was finanziell nicht umfassend
genug sei um die Firma weiter zu betreiben, schreibt Christian
Schulthess in einer Mitteilung. Obwohl zeitweise nicht viel
gefehlt habe, sei es ihm nicht gelungen, den entscheidenden
Durchbruch zu erzielen.
A
blimp that hovers at 65,000 feet and stays aloft for a decade is
what the Air Force hopes within five years will revolutionize its
intelligence gathering.
Early
estimates put the price at $400 million, according to the
service’s chief scientist, Werner J.A. Dahm, who is overseeing the
project.
The
450-foot-long airship would be a “potentially game-changing”
addition to intelligence, surveillance and reconnaissance
capabilities because of its 10-year flight time and a radar unit so
massive it wouldn’t fit into any aircraft now in the service’s
fleet, Dahm said.
“It
would allow us to observe remarkably fine details over very long
periods,” he said. “That lets us better understand how an
adversary operates, how to anticipate their actions, how to
interpret their intent, and many other things that we need today,
tomorrow and beyond.”
The
radar would track coalition and enemy movements on land, sea and
air, advancing the capabilities provided by satellites and unmanned
aerial vehicles, such as the Predator and the Reaper.
UAVs
maintain a presence over the battlefield by cycling in and out of
orbits; the blimp, too, would have that “unblinking eye” but
without the support of launching and landing aircraft that the
unending orbits demand, Dahm said.
The
Defense Advance Research Projects Agency, the military’s research
arm, has been developing the aircraft since 2004. Work will start
this year on the Integrated Sensor Is the Structure, or ISIS, a
scaled-down version designed to fly a year without landing.
To
keep the blimp in the air 10 years, scientists and engineers have
had to design a hull that can withstand the elements at 65,000 feet,
including a temperature of 130 degrees below zero, and produce a
power source that can regenerate energy.
“We
think we have the solutions to meet those technical challenges, and
ISIS will let us try to put them all together into a complete
functioning system,” Dahm said.
The
hull material now can withstand a low of 150 degrees below zero and
retain 85 percent of its fiber strength for 22 years, according to a
DARPA presentation. Fuel cells recharged by the sun, instead of
batteries, will power the blimp.
Lift
will come from helium; the craft would have a sustained airspeed of
60 knots and a sprint speed of 100 knots, DARPA said.
Still,
Dahm cautions, more work needs to be done. For example, the
researchers still need to ensure the blimp can defend itself. Flying
at 65,000 feet, the aircraft won’t be vulnerable to many enemy
anti-aircraft systems but will be susceptible to “missiles and
other threats,” Dahm said. “We need to assess if the
technologies needed to make such systems possible are ready, and we
need to learn how to effectively integrate those technologies into
practical systems,” he said.
Right
now, blimps with cameras are tethered above bases in Iraq and
Afghanistan to provide security. The blimp in development, though,
won’t be like any the military has ever used, Dahm said.
“We’ve
never put a radar this large into a blimp before, and we’ve never
tried to keep a blimp aloft continuously for years at these
altitudes,” he said. “So, while it is a blimp, what we are doing
in this joint DARPA/Air Force effort really is something absolutely
revolutionary.”
Unmanned Aerial Vehicle Builder Sanswire-TAO Starts 2009 Spiral
Development and Production Schedule
March 13, 2009
FORT LAUDERDALE, FL - Sanswire-TAO, www.sanswiretao.com,
the airship development and manufacturing joint venture equally
owned by Sanswire Corp. (PINKSHEETS: SNSR), www.sanswire.com,
and TAO Technologies GmbH, today announced that it has started the
2009 spiral development schedule of its Lighter Than Air (LTA)
Unmanned Aerial Vehicle (UAV) program for 2009. The spiral
development schedule maps out the actions and time required to
develop and produce patented multi-segmented cell airships, and
allows for including an escalating range of new capabilities into
the medium altitude UAV development process. With each stage a
development project in its own right and a subset of the final
system, Sanswire-TAO will reduce risk factors, time and expenses
related to planning successive stages by evaluating progress in the
prior stages.
The spiral development schedule kicks off
with the production of the STS-111, a 34-meter long, autonomously
controlled, rapidly deployed, non-rigid, mid-altitude, medium
endurance multi-segmented airship leading into the development and
production of the STS-230, a 70-meter long, autonomously controlled,
rapidly deployed, non-rigid, medium to high altitude multi-segmented
airship that is designed to operate for extended durations at higher
altitudes through the utilization of a proprietary propulsion
system. The concepts leading to the spiral development program are a
result of over 15 years of research and development in Lighter Than
Air (LTA) technologies and renewable energy and fuel powered
prototypes of various sizes, shapes and design criteria.
Pentagon
plans blimp to spy from new heights Los
Angeles Times March 13, 2009
The giant dirigible would use radar to closely and constantly
monitor activity on the ground from 65,000 feet.
Reporting from Washington -- The Pentagon said Thursday that it
intends to spend $400 million to develop a giant dirigible that will
float 65,000 feet above the Earth for 10 years, providing unblinking
and intricate radar surveillance of the vehicles, planes and even
people below.
"It is absolutely revolutionary," Werner J.A. Dahm, chief
scientist for the Air Force, said of the proposed unmanned airship
-- describing it as a cross between a satellite and a spy plane.
The 450-foot-long craft would give the U.S. military a better
understanding of an adversary's movements, habits and tactics,
officials said. And the ability to constantly monitor small
movements in a wide area -- the Afghanistan- Pakistan border, for
example -- would dramatically improve military intelligence.
"It is constant surveillance, uninterrupted," Dahm said.
"When you only have a short-time view -- whether it is a few
hours or a few days -- that is not enough to put the picture
together."
The project reflects a shift in Pentagon planning and spending
priorities under Defense Secretary Robert M. Gates, who has urged
the military services to improve intelligence and surveillance
operations while cutting high-tech weaponry costs.
If successful, the dirigible -- the brainchild of the Air Force
and the Pentagon's research arm -- could pave the way for a fleet
of spy airships, military officials said.
However, it marks the return to a form of flight that has stirred
anxiety and doubt since the 1937 Hindenburg disaster. Thirty-six
people were killed when that airship went up in flames in New
Jersey.
The military has used less-sophisticated tethered blimps -- called
aerostats -- to conduct surveillance around military bases in
Iraq. But flying at 65,000 feet, the giant airship would be nearly
impossible to see, beyond the range of any hand-held missile, and
safe from most fighter planes.
And its range would be such that the spy craft could operate at
the distant edges of any military theater, probably out of the
range of surface-to-air missiles as well.
The Air Force's intelligence, surveillance and reconnaissance
abilities have improved dramatically in the last five years with
the expansion of the Predator and other drones. Although such
craft can linger over an area for a long time, they do not watch
constantly.
The giant airship's military value would come from its radar
system. Giant antenna would allow the military to see farther and
with more detail than it can now.
"Being able to observe threats [and] understand what is
happening is really the game-changing piece here," Dahm said.
The dirigible will be filled with helium and powered by an
innovative system that uses solar panels to recharge hydrogen fuel
cells. Military officials said those underlying technologies --
plus a very lightweight hull -- were critical to making the
project work.
"The things we had to do here were not trivial; they were
revolutionary," said Jan Walker, a spokeswoman for the
Defense Advanced Research Projects Agency, the Pentagon's research
arm.
The Air Force has signed an agreement with DARPA to develop a
demonstration dirigible by 2014. The prototype will be a third as
long as the planned surveillance craft -- known as ISIS, for
Integrated Sensor Is the Structure, because the radar system will
be built into the structure of the ship.
While the military says the craft is closer to a blimp than a
zeppelin -- which has a rigid external structure -- officials
usually call the project an airship. Blimps get their shape from
helium gas pressure.
The Pentagon has not yet awarded a contractor to build the
prototype. Earlier work was done by Northrop Grumman in Redondo
Beach -- as well as Baltimore and other locations -- and by
Lockheed Martin in Palmdale, Calif.; Akron, Ohio; and Denver.
NEVADAN
AT WORK: Captain of M Resort blimp delights in going with the float
LAS
VEGAS REVIEW-JOURNAL
When
you look up into the sky and see the M Resort blimp hovering above,
you're looking at a rarity.
You're
watching Terry Dillard, one of just 56 certified blimp pilots in the
world, steering one of just three of the planet's airships with
video screens on the side. As Dillard likes to point out, Earth
houses more space shuttle pilots than it claims blimp captains. And,
for that matter, the United States has as many space shuttles as it
has video-screened airships.
As
chief pilot for the Lightship Group, a Florida blimp-operating
contractor with 12 airships, Dillard is four months into a two-year
assignment flying the M Resort's promotional ship over the Southwest
United States to pump the hotel-casino, which opened March 1.
Dillard, who has roughly 13,000 hours of blimp flight time, has
flown airships across North America from north to south at least
three times. In addition to flying over Las Vegas, Dillard is taking
the M blimp to San Diego, Phoenix and San Francisco, taking to the
air for 30 hours a week in the evenings.
Dillard
got his start in 1974, flying hot air balloons over Walt Disney
World and SeaWorld in Orlando, Fla. He's flown blimps since 1991.
LES
DIRIGEABLES DE LA MARINE FRANÇAISE (1915-1937)
Le
livre de l'association ARDHAN est disponible.
L’offensive
des sous-marins allemands, en 1915, décide la Marine à
employer
une flotte de dirigeables souples pour lutter contre leurs attaques.
Cet
ouvrage retrace l’histoire des dirigeables armés par la Marine
française de décembre 1915 à septembre 1937.
La
première partie s’attache à décrire la carrière individuelle
de chacun des 74 ballons dirigeables.
Dès
1917, la France envisage de construire des dirigeables rigides,
largement inspirés des Zeppelin dont quelques exemplaires se sont
échoués sur les territoires anglais et français, et le premier
d’entre eux est en construction quand survient l’Armistice.
L’avènement de la paix porte un coup d’arrêt à ces projets
ambitieux.
La
France reçoit en 1920 et 1921, au titre des réparations de guerre,
trois Zeppelin dont deux sont affectés à la Marine, le troisième
étant démoli par le Service technique de l’Aéronautique. Le
premier, rebaptisé Dixmude,
est immobilisé trois ans,puis
effectue de remarquables ascensions avant de disparaître
tragiquement en décembre 1923.
Les
années 1930 voient l’apparition de dirigeables neufs construits
par Zodiac, mais ils sont construits en petite quantité et des
accidents remettent en question l’utilité des dirigeables pour la
Marine qui décide finalement de les désarmer en 1937.
La
deuxième partie traite des centres de dirigeables, de leur
infrastructure et de leur fonctionnement. Treize ports d’attache
sont progressivement installés le long des côtes françaises,
ainsi qu’en Afrique du Nord et même un en Grèce, à Corfou.
Peu
survivront à la fin de la Grande Guerre et Rochefort sera le
dernier en service.
La
troisième partie enfin traite du personnel. Celui-ci a culminé en
novembre 1918, à plus de 2 500 hommes dont plus de
300
volants. L’auteur s’est attaché pendant vingt ans à retrouver
les pilotes de dirigeables, aujourd’hui tous éteints, et leur
famille,
pour en établir les 222 notices biographiques individuelles
Dans l'évolution des ballons à air chaud (mongolfières) et
autres zeppelins voici une nouvelle approche écologique de voyage
du designer Christopher Ottersbach avec ce concept de dirigeable Aeolus.
Ce véhicule aérodynamique conçu pour deux à quatre personnes est
soulevée par un grand volume d'hélium et peut rester en suspension
dans l'air pour un voyage de deux semaines.
Avec peu d'efforts, il peut se déplacer sur la surface de la terre
indépendamment de tout type d'infrastructure et contrairement aux
ballons, Eole a une forme aérodynamique pouvant additionnellement
être motorisé par pédalage généré par l'équipage!!!
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Russian
Defense Ministry to get “flying saucer”
The
aircraft modeling club at Moscow Aviation Institute (MAI) has tested
a huge saucer-shaped airship called LocomScanner that can carry
1.5-ton payloads.